Woman on the Run by Bosley Crowther
30 novembre 1950. Woman on the Run, film noir sans prétention, fait de l’œil au passant cinéphile. D’autant plus que, pour une fois, Bosley Crowther ne le descend pas en flamme. Direction donc le Criterion.
30 novembre 1950. Woman on the Run, film noir sans prétention, fait de l’œil au passant cinéphile. D’autant plus que, pour une fois, Bosley Crowther ne le descend pas en flamme. Direction donc le Criterion.
29 novembre 1946. Ce n’est pas parce que Bosley Crowther détruit le dernier film de Vincente Minnelli que le passant cinéphile va faire l’impasse sur Undercurrent. D’autant plus que Robert Mitchum, Katharine Hepburn et Robert Taylor sont au générique.
18 novembre 1946. Un jour de plus sous la neige pour le Passant Cinéphile. Un jour de plus à hanter les salles du Globe. Et quoi de mieux que The Chase dont une partie de l’intrigue se déroule sous le soleil de La Havane. D’autant plus que Bosley Crowther n’a pas aimé. Et ça, c’est l’argument béton pour tenter le coup.
04 novembre 1949. Encore une histoire de gangster en fuite en compagnie de sa chère et tendre. D’autres s’en lasseraient. Pas le passant cinéphile qui aime le genre. Direction donc le Criterion avec à l’affiche le dernier Nicholas Ray, The Live by Night.
19 octobre 1950. Le passant cinéphile aime découvrir de nouveaux talents au cinéma. Et en ce mois d’octobre, la presse n’a d’yeux que pour l’un d’eux, Charlton Heston, jeune acteur qui donne la réplique à Lizabeth Scott dans Dark City.
15 octobre 1953. Le fait que Bosley Crowther aime un film est suffisamment rare pour que l’on se penche sérieusement sur le long métrage. Notre passant cinéphile entre donc confiant dans la salle du Criterion pour découvrir le dernier Fritz Lang, The Big Heat.
12 octobre 1944. Humphrey Bogart prend conscience du monde qui l’entoure et prend fait et cause pour le camp du bien dans To Have and Have Not d’Howard Hawks. Le passant cinéphile, fan de Boggie devant l’Eternel, ne peut laisser passer cette occasion. Et puis il y a The Look…
04 octobre 1941. Humphrey Bogart face à une femme fatale, ça ne se refuse pas. D’autant plus quand elle est interprétée par Mary Astor. Et quand en plus, Bosley Crowther se répand en louange, il n’y a pas une seconde à perdre. Direction la première salle de ciné venue sur Broadway pour le passant cinéphile impatient de découvrir ce The Maltese Falcon.
24 septembre 1949. Il gèle à pierre fendre. Le passant cinéphile à les plus grandes difficultés à rester debout sur les trottoirs glissants de Broadway. Et pour couronner le tout, on attend d’importantes chutes de neige. Dérèglement climatique ? Que nenni, cela n’existe pas au pays de l’Oncle Sam! Tout cela est de la faute de Bosley Crowther qui vient de sortir un papier dithyrambique sur le dernier Jules Dassin, Thieves’ Highway.
07 septembre 1944. Le passant cinéphile se sent attiré par cette histoire de femme fatale prenant dans sa toile un enquêteur en assurance. En outre, il se demande bien comment l’on peut résister à ces femmes. En tout cas, il pénètre dans la salle où l’on passe Double Indemnity comme attiré malgré lui.