Sirocco par Bosley Crowther
14 juin 1951. Le passant cinéphile a besoin de dépaysement, de changer de décor. Encore faut-il en avoir les moyens. Aller voir le dernier Bogart, Sirocco, lui semble être une bonne idée. Aussi pénètre-t-il sans hésiter dans la salle du Capitol, achète un paquet de cigarettes à l’ouvreuse et s’installe confortablement pour profiter du spectacle. Il en oublierait presque la critique acerbe signée Bosley Crowther.